La nuit des monologues

Date

Vendredi 8 novembre 2024 à 19h

Avec

Béatrice Anselmo, Béatrice Schrenzel, Alexandra Tiedemann, Gabrielle Colibri, Elise David, Mariama Sylla, Fanny Gurunlian, Pierre Romanens et Joëlle Gagliardini

En partenariat

avec la Nuit du conte en Suisse

Tarifs

Chf 12.- / 10.- (AVS, chômeur·euse·s) / 0.- (étudiant·e·x·s)

Tirade, expression et émotion: le monologue s’empare de la Nuit du conte en Suisse à la Maison Rousseau et Littérature.

Il était une fois un laboratoire d'écriture dirigé par le poète et dramaturge Fabrice Melquiot. Ce magicien, bien plus qu’un simple auteur, est un passeur de savoir, passionné par la transmission de son art. Sous son regard bienveillant, de jeunes écrivains et écrivaines ont échangé leurs idées et développé des projets théâtraux pendant plus de dix ans au sein du théâtre Am Stram Gram.

Son mandat terminé, Fabrice Melquiot est parti vers de nouvelles contrées, mais n’a pas laissé ses disciples dans les méandres de leurs imaginaires. Il leur a proposé des rencontres dans son nouveau royaume, situé à Évora, au Portugal. Dans cette atmosphère propice à la création, plusieurs courts monologues ont vu le jour en mai 2023. 

Ces petits monologues, vibrant d’une puissante envie de vous connaître, de partager leurs mots, d’entendre vos peurs et vos rires, sont là pour vous, dans l’écrin de la Maison Rousseau et Littérature.

Intervenant·e·s

Béatrice Anselmo, professeure, voyageuse en lettres et théâtre.

Béatrice Schrenzel, écrire pour donner à voir ce qui ne se voit pas.

Alexandra Tiedemann, comédienne, porteuse de projet, rattrapée par le besoin irrésistible d’écrire.

Gabrielle Colibri, autrice, artiste, slameuse, animatrice d'ateliers d'écriture.

Elise David, écrivaine, médiatrice culturelle, directrice exécutive du Prix Européen de l'Essai.

Mariama Sylla, comédienne, metteure en scène, qui aime écrire.

Fanny Gurunlian, auteure.

Pierre Romanens, j'ignore qui je suis, voilà pourquoi j'écris. 

Joëlle Gagliardini, illustratrice du réel.

Crédit photographique: illustration de Joëlle Gagliardini

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