Lire c’est vivre Nº2: Marie-Caroline Hominal

Lire c’est vivre

Autoportraits de maisons d’édition
Coups de cœur des librairies

En septembre 2021, douze artistes parmi celles et ceux qui font la Genève culturelle ont accepté de lire un texte qui leur est cher, extrait de roman ou d’essai, manifeste politique ou poème. Elles et ils expliquent leur choix et donnent à entendre ces mots qui les accompagnent. Les enregistrements ont été réalisés dans des lieux choisis par les artistes, que ce soit leur salon, leur atelier… ou un cimetière.

Marie-Caroline Hominal, danseuse, chorégraphe et performeuse

Les Carnets du sous-sol, de Fedor Dostoïevski (1864)

Formée à la danse à la ZHdK TanzAkademie à Zurich, puis à la Rambert School of Ballet and Contemporary Dance à Londres, Marie-Caroline Hominal rejoint la National Youth Dance Company, puis travaille au Tanztheater Basel et avec Gilles Jobin, Gisèle Vienne, La Ribot, Marco Berrettini… Sa recherche personnelle amorcée en 2002 inclut le texte, le dessin, la danse, la vidéo, la sculpture et la radio. Ses réalisations sont présentées dans des théâtres, musées et galeries, et dans des lieux atypiques (chambre d’hôtel, loge de théâtre, chantier, semi-remorque…). En 2019, elle reçoit le prix «Danseuse exceptionnelle» des Swiss Dance Awards de l’Office fédéral de la culture. Elle donne des ateliers dans des écoles d’art. Depuis 2008, son travail a été présenté en Europe, en Chine, en Amérique du Sud et en Amérique du Nord. En 2021, elle a créé Pièce en forêt pour treize danseurs dans la forêt de Sauvabelin, à Lausanne (Festival de la Cité), et Eurëka, c’est presque le titre pour la tournée européenne AHOY! du Musée Tinguely.

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